en captivité
En captivité :
Les myrmica rubra apprécie particulièrement les aliments sucrés, tel que le lait sucré avec du sirop de fraise, la gélatine, ou encore eau miellé. De plus, lorsque les larves sont nombreuses, les insectes, plus ou moins gros, en tout genre sont très appréciés.
Autour d'un reste de sauterelle encore attaquer par les fourmis, on peut aussi voir 3 males et une femelle
Expérience sur le type d’alimentation, par Dominique Dewulf :
« Mars 2002, je récupère dans mon jardin une partie d'une colonie de Myrmica rubra, je prends 6 reines et 600 ouvrières. Je les installe dans un terrarium rempli de terre argileuse.
Donc durant ce temps elles ont été nourrit avec 90% de sources de protéines (uniquement des insectes) et 10% de glucides (uniquement du miel)
Donc hibernation (2002/2003) à 5°C mini ou plus car les hivers sont doux ces temps ci....
En février/mars elles sortent et se nourrissent énormément ! Très vite la surface est quasiment toujours scruter par les ouvrières.. En captivité, l'homme joue un rôle déterminant dans le régime alimentaire... On fait un peu se qu'on veut ! ce qui amène parfois des résultats surprenant ! Cette colonie a été nourrit avec des insectes vivants, même de grande taille, et ne pouvant s'échappée les fourmis ont toujours réussi a en venir a bout, ce qui n'aurait pas était le cas dans la nature. J’ai ensuite vider la colonie pour la mettre dans un nid en plâtre horizontale et la surprise : 6 reines et 2 703 ouvrières.»
(Cette expérience a été effectué sur une seul colonie de myrmica rubra, il se peut donc que les résultat soit erronées.)
Les myrmica rubra apprécie particulièrement les aliments sucrés, tel que le lait sucré avec du sirop de fraise, la gélatine, ou encore eau miellé. De plus, lorsque les larves sont nombreuses, les insectes, plus ou moins gros, en tout genre sont très appréciés.
Myrmica rubra s’attaquant à diverse proies. (mouche, criquet, coléoptère, araignée)
Expérience sur le type d’alimentation, par Dominique Dewulf :
« Mars 2002, je récupère dans mon jardin une partie d'une colonie de Myrmica rubra, je prends 6 reines et 600 ouvrières. Je les installe dans un terrarium rempli de terre argileuse.
Donc durant ce temps elles ont été nourrit avec 90% de sources de protéines (uniquement des insectes) et 10% de glucides (uniquement du miel)
Donc hibernation (2002/2003) à 5°C mini ou plus car les hivers sont doux ces temps ci....
En février/mars elles sortent et se nourrissent énormément ! Très vite la surface est quasiment toujours scruter par les ouvrières.. En captivité, l'homme joue un rôle déterminant dans le régime alimentaire... On fait un peu se qu'on veut ! ce qui amène parfois des résultats surprenant ! Cette colonie a été nourrit avec des insectes vivants, même de grande taille, et ne pouvant s'échappée les fourmis ont toujours réussi a en venir a bout, ce qui n'aurait pas était le cas dans la nature. J’ai ensuite vider la colonie pour la mettre dans un nid en plâtre horizontale et la surprise : 6 reines et 2 703 ouvrières.»
(Cette expérience a été effectué sur une seul colonie de myrmica rubra, il se peut donc que les résultat soit erronées.)